Connaissances Techniques Handi Quilter

L’Impression Numérique Textile et le matelassage

La dernière tendance dans le monde du patchwork est l’impression numérique sur textile. Si les tissus offrent souvent un rendu magnifique, qu’en est-il une fois le tout matelassé ?

Souvent, lorsque le tissu est imprimé uniquement sur l’endroit et avec certaines couleurs, des « éclats de blanc » peuvent apparaître au moment du matelassage. Pourquoi ces éclats ? Lorsqu’une aiguille traverse le tissu pour former un point, même un léger déplacement du tissage peut suffire à le faire pivoter légèrement. Le revers, non imprimé, devient alors partiellement visible, créant ces petites zones blanches. Ci-dessous quelques exemples :

Voici quelques astuces pour améliorer la qualité des points lorsque vous travaillez avec ce type de tissu :

  • Prélavez votre tissu.
  • Utilisez un fil plus lisse, comme un fil de soie ou un polyester trilobé fin (taille 40, 50 ou 60). Évitez les fils de coton, qui ont tendance à produire plus de peluches et peuvent accrocher davantage au tissu.
  • Choisissez une aiguille plus fine, de taille 100/16, avec une pointe ronde (type FG ou FFG). Cela réduit le risque d’endommager les fibres et diminue l’apparition d’éclats.
  • Gardez votre sandwich un peu plus lâche que d’habitude.
  • Appliquez un conditionneur de fil, comme le Dritz Sewer’s Aid, ou un lubrifiant silicone directement sur l’aiguille (veillez à bien la sécher avant utilisation). Cela permet à l’aiguille de glisser plus facilement à travers le tissu, sans déplacer le tissage.
  • Privilégiez des motifs de quilting ouverts et multidirectionnels, plutôt que des lignes droites, qui mettent plus de tension sur les fibres.
  • Optez pour une longueur de point légèrement plus grande, entre 8 et 10 points par pouce (au lieu des 10 à 12 habituels), ce qui limite les tensions sur le tissu et réduit les éclats blancs.

Si des éclats apparaissent, vous pouvez les camoufler en utilisant un marqueur Pigma Micron de couleur similaire ou des crayons Inktense (à base d’encre). Une fois le biais ajouté au patchwork, un lavage peut également aider à atténuer les éclats.

Connaissances Techniques Handi Quilter

Maîtriser la tension de la canette : guide pour éviter les mauvaises surprises en matelassage

Lorsqu’on matelasse, il arrive parfois de rencontrer des problèmes dits « mécaniques ». Rien n’est plus frustrant que de se sentir parfaitement à l’aise dans son travail, puis, une heure plus tard, retourner son patchwork pour découvrir que l’envers est complètement chaotique… à cause d’une tension défaillante.

Heureusement, de nombreux soucis peuvent être évités grâce à de simples vérifications et bonnes habitudes. Voici un guide complet pour garder le contrôle sur la tension de votre canette.


✅ Astuce #1 : Vérifiez la tension à chaque changement de canette

Prenez l’habitude de vérifier la tension de vos points à chaque fois que vous changez de canette. Cela vous permet de détecter rapidement toute anomalie avant qu’elle ne ruine votre matelassage.

👉 Je vous explique cela plus en détail dans cet article.


🌀 Astuce #2 : Remplissez vos canettes lentement et régulièrement

Remplir une canette à grande vitesse peut sembler anodin, mais cela provoque une accumulation de chaleur par friction. Avec des fils fins ou transparents (comme le Monopoly), cela peut entraîner une dilatation thermique de la canette — qu’elle soit en plastique ou en métal.

Une canette légèrement déformée génère une tension instable : boucles, points irréguliers, problèmes sur l’envers…

💡 Remplissez vos canettes à une vitesse modérée et constante. Personnellement, j’utilise la vitesse 3.
Si vous utilisez le bobineur fourni avec les Moxie ou Moxie XL, pas d’inquiétude : la vitesse est prédéfinie pour un remplissage optimal.


⚠️ Astuce #3 : Évitez les chutes de boîtier de canette

Si votre boîtier tombe par terre, il peut se déformer légèrement et perdre sa forme parfaitement ronde. Résultat : tension irrégulière, alternant entre bonne et mauvaise.

Dans ce cas, il faut réarrondir le boîtier à l’aide d’un outil spécialement conçu à cet effet – un « Bobbin Case Dewarper (en anglais) ».

🔎 Vérifiez toujours la tension de votre canette au-dessus de votre patchwork ou d’une surface de travail à hauteur, pour éviter qu’il ne tombe.
Pensez aussi à avoir un boîtier de canette de rechange sous la main, au cas où.


🧵 Astuce #4 : Ne surchargez pas vos canettes

Même sans évasement, une canette trop remplie peut causer une tension très forte au début, qui se relâche rapidement ensuite. Ce problème est courant avec les canettes pré-bobinées.

✔️ Si vous remplissez vos propres canettes, laissez au moins 3 mm d’espace vide (environ la largeur d’un ongle). Exemple d’une canette correctement remplie ci-dessus.
✔️ Si vous utilisez des canettes pré-bobinées, déroulez quelques mètres de fil avant de vérifier la tension.


🎯 Astuce #5 : Utilisez une jauge de tension (TOWA)

Pour une vérification plus précise, utilisez une jauge de canette TOWA. Elle permet de mesurer la tension de manière fiable. Pour les longarm Handi Quilter, il faut la taille M.

📌 Notez les valeurs idéales selon le type de fil.
👉 Pour les fils polyester ou coton, taille 40 ou 50, je règle généralement la tension entre 170 et 190.


🔩 Astuce #6 : Attention à la vis de réglage usée

Une cause plus rare mais à ne pas négliger : une vis de réglage usée sur le boîtier de canette peut fausser la tension, même si tout semble en ordre par ailleurs.


🧼 Astuce #7 : Nettoyez sous le ressort du boîtier

Une fine couche de poussière ou de peluches peut s’accumuler sous le ressort du boîtier (aussi appelé « bras »). Cela modifie la tension de façon imprévisible.

✔️ Glissez une épingle fine ou une carte de visite sous le ressort pour le nettoyer à chaque changement de canette.

👉 Je vous montre comment faire dans cette vidéo.


🧶 Astuce #8 : Choisissez un fil adapté

Certains fils — très fins ou pelucheux — demandent des réglages particuliers.

🔍 Faites toujours un essai sur un échantillon avec le fil et le molleton que vous utiliserez pour le projet. Je vous explique cela plus en détail dans cet article.


🧹 Astuce #9 : Nettoyez régulièrement la zone de crochet de la canette

Outre le boîtier de canette, l’ensemble de crochet de canette doit rester propre. Utilisez la petite brosse douce fournit avec la machine pour enlever les résidus. La poussière peut rapidement dérégler la tension.

Et n’oubliez pas de mettre la goutte d’huile sur la rainure de l’ensemble de crochet de canette après chaque changement de canette.


📝 Astuce #10 : Tenez un carnet de réglages

Notez vos réglages de tension en fonction du type de fil, de tissu, et de molleton. Cela vous évite de repartir de zéro à chaque nouveau projet — et vous fait gagner un temps précieux !


🧵 En conclusion

La tension de la canette est un élément technique discret mais essentiel dans le succès d’un matelassage. Grâce à ces astuces simples, vous pouvez prévenir la plupart des problèmes avant qu’ils ne se manifestent.

Prenez quelques minutes pour faire vos vérifications, vos tests, vos nettoyages… et vous profiterez pleinement de chaque séance de quilting.

💬 Et vous, avez-vous d’autres astuces pour maîtriser la tension de la canette ? Partagez-les en commentaire !

Connaissances Techniques Handi Quilter

Astuce pour le matelassage personnalisé

L’astuce consiste à réaliser un bâti complet de votre patchwork avant de commencer le matelassage. Qu’est-ce que c’est et comment faire ?

Un bâti complet sur le longarm consiste à assembler les trois épaisseurs (top, molleton et tissu de dos) de manière à former un sandwich, qui est uniquement attaché aux leaders sur les deux barres où le tissu de dos est fixé au départ (voir image ci-dessus). Pour ce patchwork, mes barres sont installés en mode standard (ou haute).

Un bâti complet permet de gagner du temps lors du matelassage, car il vous offre la possibilité d’avancer (rouler) votre patchwork — aiguille en bas — et de réaliser des motifs plus grands que votre surface de travail. Il permet également de réduire, voire d’éliminer, le nombre de débuts et de fins de fil sur un tres grand bloc.

Je bâtis tous les 10 à 15 cm (4 à 6 pouces) avec un point de bâti de 6,35 mm (1/4 de pouce – ou 4 points par pouce) sur les extérieurs, et avec un point plus long, comme 1,2 cm (1/2 pouce) au milieu. C’est une bonne longueur, car je peux quilter par-dessus sans que le pied de biche ne se coince dans le fil, ou bien couper facilement le fil avant de matelasser.

Lorsque vous avancez le quilt, veillez à bien aligner chaque nouvelle section, puis à bâtir d’abord les bords, ensuite le milieu. Quand je bâti les bords, je commence du bas vers le haut en marchant ma main derriere la machine. Ne laissez jamais les bords non bâtis. Le point de bâti sur les bords permet au surplus de tissu de s’échapper sur les côtés, contrairement à un point serré qui risque de piéger l’ampleur et de provoquer des fronces. Voici l’ordre des lignes de bâti quand je bâti le patchwork complet :

Maintenez le quilt aligné verticalement. Il existe plusieurs méthodes pour cela :

  • poser du ruban adhésif de peintre sur la barre de détendeur pour marquer les bords (il s’enlève facilement) ;
  • utiliser un ruban de centrage pour longarm (longarm centering tape), qui est un long ruban gradué avec de petites aiguilles mobiles pour indiquer les bords ;
  • ou, lorsque j’utilise mon Pro-Stitcher, je peux utiliser l’outil de mesure intégré.

Chacune de ces méthodes me permet de m’assurer, de manière précise, que la ligne verticale reste bien droite. Se fier uniquement à l’œil nu pour estimer les coutures n’est pas fiable, car cela peut entraîner un rétrécissement inégal quand vous arrivez en bas du quilt, ce qui le rendrait non-équerré.

Formations Patchwork, Portrait Quilting

Un Atelier à l’Université France Patchwork

J’ai le grand plaisir de vous annoncer que je ferai partie des quatre intervenantes à l’Université France Patchwork 2025, qui se tiendra à Bussang, dans les Vosges, du 22 au 25 octobre ! J’aurai le bonheur d’animer un atelier autour de la technique du Quilting Portrait, une approche textile qui me tient particulièrement à cœur. Voici un aperçu de l’article paru dans le dernier numéro de France Patchwork (n°165), tout juste sorti, consacré à cet événement. La photo que vous voyez dans l’article représente ma mère, le jour de son mariage en 1970 — une source d’inspiration précieuse pour mon travail.

L’Université France Patchwork a été créée en 1998 et propose à ses adhérentes d’approfondir leurs connaissances et savoir faire textile tout en s’amusant avec de nombreuses autres quilteuses (et quilteurs) dans un cadre passionnant et bienveillant. Cela faisait plusieurs années que l’Université n’avait pas eu lieu et je suis vraiment ravie de pouvoir partager la technique du Quilting Portrait pendant les 3 jours de stage.

En participant à cet atelier, les stagiaires apprendront la technique de A à Z : du choix de la photo (d’une personne, d’un animal, d’un objet, ou d’un paysage, par exemple) avant de la transformer en patron, pour ensuite réaliser un patchwork. Si les stagiaires souhaitent réaliser un des patrons disponibles (le lion, le l’éléphant, la girafe, la rose ou le papillon), c’est également une possibilité. Je viendrai avec des kits de tissus, de l’adhésif double-face et du stabilisateur pour être certaine que les stagiaires ont tout ce qu’il faut pour réaliser leur patchwork !

Le premier jour sera consacré à la création du patron depuis la photo et également aux premières étapes de création. Les 2 jours suivants les stagiaires finaliseront la création de leur patchwork et commenceront les étapes de finition du patchwork avec le matelassage – soit à la main, soit avec une machine à coudre domestique.

Nous allons passer de très beau moments ensemble et les stagiaires partiront tous avec un ouvrage terminé, ou presque !! Si l’aventure vous tente, et que vous êtes membre de France Patchwork, vous pouvez vous inscrire par email en contactant Isabel Larzillière, la présidente de l’association. Voir les photos ci-dessous avec les détails.

Formations Patchwork, Réalisations de Patchwork

Les derniers mois bien rempli

En ce moment, je donne des cours pour des nouvelles propriétaires de machine longarm – et je matelasse beaucoup pour des clientes! Voici une petite sommaire en photos !!

Les nouvelles propriétaires en Belgique Flamand (un PS Lite), vers Carcassonne (une Amara) et le club ValPatch de Lièpvre (en Alsace – une Moxie)

Et les nouvelles utilisatrices du logiciel de dessin, Pro-Stitcher Designer :

Quelques patchs clientes matelassés – un jardin de grand-mère, un bargello, un « Blizzard » d’Edyta Sitar, un patchwork « Les Villages » – Patchwork Mystère Quiltmania 2012, un « Clémentine » – Patchwork Mystère Quiltmania 2022, et un « Diamants des Profondeurs (Diamonds in the Deep) » :

Un Jardin de Grand-mère avec des tissus Kaffe Fassett, matelassé en personnalisé avec du Pro-Stitcher et des règles

Un Bargello, matelassé avec le motif bord-à-bord Knit 1 Purl 2

Blizzard, un patchwork d’Edyta Sitar, matelassé avec le motif bord-à-bord Snowflake Cascade

Les villages, le patchwork mystère de Quiltmania 2012 par Yoko Saito, matelassé en personnalisé avec du piqué-libre et des règles

Clémentine, le patchwork mystère de Quiltmania 2022 par Irene Blanck, matelassé en personnalisé avec du piqué-libre, des règles et du Pro-Stitcher

Et le patchwork Diamonds in the Deep, matelassé en bord-à-bord avec le motif Gravity

Portrait Quilting

Premier Atelier & Conférence Quilting Portrait

Début février le club Activités & Loisirs de Charolles m’a invité à venir leur donner la conférence et trunk show Quilting Portrait ! Une quinzaine de membres y ont assisté et elles ont beaucoup apprécié ma présentation. C’était ma première conférence en français et j’étais très contente du déroulement de l’après-midi passé en leur compagnie.

Ensuite, elles ont réfléchi ensemble pour savoir si elles souhaitaient poursuivre avec un atelier. Il y avait un group de 6 personnes parmi elles qui voulaient apprendre la technique plus en profondeur. Je suis retournée début mai pour un atelier de 6 heures avec elles. Les voici en train de travailler

Elles ont chacune choisi une photographe d’un membre de leur famille. Certaines ont acheté un kit de tissus que je propose pour avoir les bonnes valeurs et d’autres ont amené leur propres tissus, selon mes conseils. La journée s’est très bien déroulée. Trois des participantes ont presque terminé leurs ouvrages, et les trois autres les ont bien avancé. La durée de l’atelier étant de 6 heures, elles n’avaient pas besoin d’amener leurs machines à coudre, car l’étape de finition de l’ouvrage est généralement pour la 2ème journée, si c’est un atelier de 2 jours. Elles termineront leurs ouvrages toutes chez elles !! Voici les résultats de deux des participantes au terme des 6 heures :

Je suis extrêmement fière de mes élèves!! Elles ont super bien travaillé et c’était un plaisir de leur apprendre la technique !!

Connaissances Techniques Handi Quilter, Techniques de Patchwork

Problèmes et Astuces avec des tissus blanc sur blanc

Est-ce que cela vous est déjà arrivé d’avoir des difficultés et/ou des problèmes de qualité de vos points (par exemple des sauts de points) quand vous travaillez avec des tissus blanc sur blanc ? Ce n’est pas toujours le cas avec tous les tissus blanc sur blanc, mais c’est tout à fait possible quand on matelasse ce type de tissu avec une machine à coudre ou une longarm.

Avec ce patchwork, cela m’est arrivée pratiquement tout le long du matelassage quand j’étais sur les bandes blanches. Pourquoi cela arrive et quelles sont les astuces pour gérer ce problème ?

Tout d’abord, pourquoi cela arrive-t-elle avec des tissus blanc sur blanc ? En réalité, les motifs blancs sur le tissu blanc est un imprimé qui est un peu comme de la peinture. Cette «peinture» est plus épaisse et peut avoir un effet un peu plus «collant» avec certains tissus. Cela provoque alors des sauts de points. Cela n’arrive pas avec tous les tissus blanc sur blanc, mais qu’avec certains ; il est donc préférable de tester en amont.

Si cela vous arrive, voici quelques astuces pour réduire les sauts de points

  • ralentir votre vitesse de matelassage
  • utiliser une aiguille plus grande (si, par exemple, vous utilisez une aiguille taille 16/100, passez à une aiguille taille 18/110, car le fil sera plus protégé dans la rainure)
  • si vous matelassez avec une longarm, détendez votre bâti pour que le sandwich soit moins tendu

En faisant tout cela, vous devriez avoir un peu moins de saut de points. Avez-vous d’autres astuces pour que cela arrive moins souvent ?

Magasins, Foires, et Expos de Patchwork

Un livre à lire absolument – Patchworks

J’adore lire, malheureusement j’ai peu de temps à y consacrer car je suis souvent occupé avec autre chose … comme le quilting, par exemple ! Mais de temps à autre, un livre vaut le détour. J’adore une collection de livres écrits par une américaine, Jennifer Chiaverini – les « Elm Creek Quilts ». Je pense les avoir tous lu. En général, quand je les commence, il faut que j’ai le temps car je les lit en totalité en une journée ou deux maximum. Je suis totalement captivée par l’histoire et je ne peux pas m’empêcher de le lire en entier. Voici quelques-un de ses livres

Cette année, au salon Pour l’Amour du Fil à Nantes, une autrice française, Joëlle Loeuille, vendait son nouveau livre dans un stand pop-up auprès de Katell Renon. Elle m’a dit qu’elle a écrit ce livre dans le même style. Son livre s’appelle « Patchworks – 3 filles, 3 fils entremêlés ». Et normalement, c’est le début d’une nouvelle collection de livres !!!

Je ne lis pratiquement jamais en français, donc je lui ai demandé le niveau de ce livre. Elle m’a dit qu’elle pensait que je n’aurais pas trop de mal à le lire. Je l’ai donc acheté et elle me l’a dédicacé ! Dès la première page, il y avait plusieurs mots que je ne connaissais pas. J’ai décidé d’en profiter pour enrichir mon vocabulaire – et pour faire cela, j’ai souligné les mots inconnus pour ensuite en trouver le sens et m’en rappeler. Au début, je souligné plusieurs mots par page, mais au fur et à mesure que je lisais, je comprenais presque tous les mots et les mots soulignés devenaient plus rare.

Au final, j’ai terminé ce livre de 283 pages en 24 heures, tout comme les livres de Jennifer Chiaverini !!! Le livre évoque 3 amies – Claudine, Sophie et Isaure – qui habitent toutes en Bretagne à proximité de Concarneau, au sud de Brest. Il y avait quelques mots bretons et beaucoup de références à des sites régionaux, une région que j’aime énormément. Les personnages étaient tous très attachants et j’ai adoré le lire.

Si vous cherchez un nouveau livre à lire cet été, je vous le recommande vivement !!! Il est en vente sur Libranova en version numérique ou papier, et sur Amazon!!!

Formations Patchwork, Magasins, Foires, et Expos de Patchwork

Pro-Stitcher au salon Carrefour Européen du Patchwork

Cette année, pour la première fois, en plus de traduire tous les cours Handi Quilter de l’anglais vers le français, je vais donner un cours sur l’utilisation du Pro-Stitcher !! Le cours sera vendredi 19 septembre de 9h30 à 12h30.

C’est un cours où les participants peuvent découvrir et apprendre des techniques sur le PS plus en profondeur – pour profiter un maximum des possibilités qu’offre le logiciel. Vous allez apprendre plus de techniques qui n’ont pas pu faire partie de vos cours initiaux sur le PS – des techniques que je considère de niveau intermédiaire mais qui sont à la portée de tous les utilisateurs.

Voici le lien pour mes cours sur le site web du salon : Carrefour Européen du Patchwork. Pour s’inscrire, il faut sélectionner le jour de cours (gratuit), puis remplir ses informations, puis sélectionner le cours. C’est expliqué dans l’encart « guide » sous le module de billetterie.

Connaissances Techniques Handi Quilter, Formations Patchwork, Portrait Quilting

Quilting Portrait donne de la profondeur à vos ouvrages

Le stage Quilting Portrait en Auvergne approche à grand pas ! Deux places se sont libérées la semaine dernière … et donc cela veut dire que si l’expérience d’apprendre une nouvelle technique et de pouvoir faire le portrait d’un proche, d’un animal de compagnie … ou un des 5 patrons disponibles vous tente, c’est le moment de vous inscrire !! Il aura lieu au Château de La Forie les 19 et 20 mai prochain en Auvergne à Saint-Étienne-sur-Usson, vers Issoire !!

Cette technique permet de donner de la profondeur à vos ouvrages – et elle peut être utilisée non seulement pour des personnes ou des animaux. Elle peut également être employée pour faire un objet, comme une voiture, ou un paysage, par exemple.

Pour le cadeau de Noël de mon mari, je lui ai offert un portrait de sa voiture préférée … une Ferrari 250 GT SWB California Spyder bleu de 1962. Et, comme tous les détails comptent pour mon mari, le matelassage se devait d’être à la hauteur ! J’ai matelassé douze chevaux dans l’arrière fond vert, car la voiture à un moteur V12. Pour la route en gris, j’ai matelassé la bande de roulement des pneus d’origine – les Pirelli Cinturato V67. J’ai décidé de le terminer avec un biais très large pour faire l’effet d’un cadre.

J’ai pu réalisé ces motifs de matelassage personnalisés grâce au logiciel Pro-Stitcher Designer dont j’assure également des formations.